AFRIQUE VRAIE

AFRIQUE VRAIE

| LA BIBLE : Le roman le plus incohérent jamais écrit

 

 

Par David MIYENGA MIYENGA

AVANT-PROPOS

 

La question de Dieu, de son existence, et de sa personnalité, est un concept plein d’absurdités…

 

Le fait de dire et d’écrire « Dieu »  (avec D majuscule et surtout sans déterminant) est une erreur conceptuelle grave.

 

En effet, certaines religions judéo-chrétiennes soutiennent la thèse selon laquelle ‘‘Yahvé’’ (ou Jéhovah) est le nom de Dieu. Cela n’a pas de sens. C’est en effet comme si l’on disait : « Barack est le nom d’Obama ». Il serait plus correct de dire : « Barack est un autre nom d’Obama ». (Lequel correspond à ce que l’on appelle ‘‘prénom’’).

 

Il est écrit dans Genèse 1 :1 : « Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. »

 

La grammaire française ne permet pas que l’on écrive : « Dieu créa les cieux…» s’il ne s’agit pas d’un nom propre (de personne). Donc, d’après ce verset, la personne qui aurait créé « les cieux et la terre » s’appelle Dieu ; cela est son nom. Ainsi, sur le plan purement grammatico-sémentique, il est incorrect de dire : « Yahvé est le nom de Dieu » ; mais plus correct de dire : « Yahvé est un autre nom de Dieu ».

 

Sur le plan véritablement conceptuel, l’idée de dieu vient plausiblement du fait que les êtres humains se sont pendant longtemps interrogés (et s’interrogent encore) sur l’origine de leur existence, et de l’existence tout court ; et même sur le sens de cette existence. C’est ainsi que les hommes, dans les différentes régions du monde, se sont mis à supposer l’existence d’êtres surnaturels, qui seraient à l’origine du monde ou qui le contrôleraient. Chez les Bankon* par exemple, un tel être surnaturel est appelé ngonn ; terme que l’on pourrait, et que l’on convient de traduire en Français par ‘‘dieu’’. Les Bankon ont supposé l’existence de plusieurs ngonn (sêsê-ngonn, lôw-ngonn, etc.). La croyance en plusieurs dieux est une donnée culturelle que l’on retrouve dans toute l’Afrique précoloniale et préislamique.

 

Alors, si le terme ‘‘dieu’’ sert à désigner tout être surnaturel qui contrôlerait l’existence des hommes ou les phénomènes naturels, ou qui aurait inventé la vie ou même l’univers tout entier, suivant l’imagination propre à une culture donnée, il serait complètement erroné de dire ou d’écrire : « Dieu a dit…», comme s’il était unique et universel. Nous venons précisément de rendre manifeste qu’il n’est ni unique ni universel.

 

En tout état de cause, l’existence d’aucun dieu n’a jamais été prouvée. Il ne s’agit que de présomptions.

 

Les éditeurs de la Bible devraient mentionner en préface que ce livre est un recueil de fables d’origine juive, et substituer au mot ‘‘Dieu’’ l’expression ‘‘le dieu d’Israël’’, le judaïsme étant une religion monothéiste. Autrement, Dieu demeure un personnage strictement biblique, et ne doit et ne peut être considéré que comme tel. Et en tant que tel, on ne saurait en parler en dehors du texte biblique. De sorte que traiter de la question de Dieu conduit inéluctablement à une critique (sans ambages) du texte biblique.

 

Chapitre 1 : La Genèse

 

« Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. » Au commencement de quoi ?... De la Création ? Certainement pas. Car avant de créer le ciel et la terre, Dieu avait déjà créé celui qu’on allait appeler plus tard Jésus (Jean, chapitre 1). Mais a-t-il vraiment créé Jésus ? Pas si certain que ça ! Car dans Jean 1 :1 il est écrit que la Parole (Jésus) était avec Dieu et que la Parole était Dieu. Dieu n’aurait donc pas créé la Parole (Jésus), puisque la Parole était Dieu lui-même.

 

Mais comment peut-on en même temps être avec quelqu’un et être cette personne ? Cela est complètement absurde ! Si absurde que le comité de traduction de la New World Bible Translation* s’est efforcé de nous proposer une ‘‘meilleurs’’ traduction en écrivant que la Parole était, non pas Dieu, mais (un) dieu. Dans ce cas on peut admettre que Dieu a créé la Parole (Jésus) ; auquel cas au commencement Dieu ne créa pas le ciel et la terre, car il a commencé par créer la Parole (ou le Verbe) ; en effet, si on admet que Dieu a créé le Verbe (Jésus), Jean 1 :3 permet de conclure que rien d’autre n’a été créé avant.

 

Quoi qu’il en soit, la logique impose que, de deux choses l’une : Soit la Parole était Dieu et Jésus ne fut donc pas créé, puisqu’il était Dieu lui-même, soit la Parole n’était pas Dieu et au commencement** Dieu créa la Parole, et non le ciel et la terre.

 

Mais la deuxième hypothèse est la plus acceptable car la parole ne peut pas être avec Dieu et être Dieu. Non.

 

Le récit de la création nous ‘‘apprend’’ ensuite (selon les versets 14 à 19 du chapitre 1) que la création du soleil a eu lieu au quatrième jour. Or il n’y a pas de jour sans soleil. Donc, le soleil existait dès le premier jour. Il est excessivement absurde de dire que Dieu crée le soleil au quatrième jour. En effet, s’il y a eu un premier soir et un premier matin, cela ne peut être que par le fait du soleil !

 

* * *

 

Les versets 24 et 25 du chapitre 1 présentent quant à eux une incohérence doublée d’une absurdité. Voici ce qui y est écrit (Traduction du Monde Nouveau) : 24« Et Dieu dit encore : ‘‘ Que la terre produise des âmes vivantes selon leurs espèces : animal domestique, animal qui se meut et bête sauvage de la terre selon sont espèce.’’ Et il en fut ainsi. 25Et Dieu se mit à faire la bête sauvage de la terre selon son espèce, et l’animal domestique selon son espèce et tout animal qui se meut sur le sol, selon son espèce. Et Dieu vit que c’était bon. »

 

Comment Dieu peut-il recréer au verset 25 tout ce qu’il a déjà achevé de créer (par la parole) au verset 24 ?

 

 

 

 

* De la Watchtower Bible and Tract Society.

** Sous-entendu alors commencement de la création.

 

 

2

En outre, que dit ce passage ? Quelque chose de complètement absurde : Dieu crée les animaux domestiques ! Qu’est-ce qu’un animal domestique ?? Aucun animal (en tant qu’espèce) n’est domestique par essence ! Cela est notoire. Tout animal domestique l’est, par définition, par le fait de l’homme. Or l’homme est le dernier ‘‘animal’’ que Dieu aie créé. De même, on ne peut pas parler d’animal sauvage en l’absence de l’homme.

 

Une autre incohérence apparaît lorsqu’on confronte les versets 24 et 25 au verset 19 du chapitre 2. Ce dernier dit (Bible de Jérusalem) : « Yahvé Dieu modela encore du sol toutes les bêtes sauvages et tous les oiseaux du ciel et les amena vers l’homme [déjà créé] (…) »

 

Une autre chose est on ne plus incompréhensible : à savoir que, au moment où Dieu crée l’homme, il n' y avait pas encore de végétation sur la surface de la terre (ni arbre ni herbe) ; et pourtant les animaux existaient déjà ! En effet, voici ce que dit Genèse 2 :4,5,7 (Bible de Jérusalem) : 4« Telle fut l’histoire de ciel et de la terre, quand ils furent créés. Au temps où Yahvé Dieu fit la terre et le ciel, 5 il n’y avait encore aucun arbuste des champs sur la terre et aucune herbe des champs n’avait encore poussé car Yahvé Dieu n’avait pas fait pleuvoir sur la terre et il n’avait pas d’homme pour cultiver le sol. 6(…)  7Alors Yahvé Dieu modela l’homme avec la glaise du sol, (…) »   

 

Le terme alors du verset 7, qui se passe de commentaire, apparaît également dans la Traduction du Monde Nouveau, aussi bien dans l’édition de 1987 que celle (révisée) de 1995.

 

Comment vivaient donc les animaux ‘‘sauvages’’ s’il n’y avait pas de brousse, ni la moindre herbe ?

 

Or, à en croire le verset 6 (qui dit, selon Second 21 : « Cependant, une vapeur montait de la terre et arrosait toute la surface du sol. »), le sol était humide ; suffisamment humide pour qu’il y aie de la végétation. Mais, chose curieuse, il n’y en avait pas.

 

Mais ceci est une contradiction catégorique des versets 11 et 12 du chapitre 1, qui disent (Traduction du Monde Nouveau) : 11« Et Dieu dit encore : ‘‘Que la terre fasse pousser de l’herbe, de la végétation portant semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leurs espèces, dont la semence est en lui, sur la terre’’. Et il en fut ainsi. 12Et la terre produisait de l’herbe, de la végétation portant semence selon son espèce et des arbres donnant du fruit, dont la végétation est en lui selon son espèce. (…) »

 

Cela s’est produit au troisième jour ; et l’homme est créé au sixième jour, dans un monde dépourvu de toute végétation. Incroyable.

 

Face à ces incohérences et absurdités énormes, les éditeurs de la Bible de Jérusalem nous donnent la recommandation suivante en bas de page : « Il  ne faut pas s’ingénier à établir des concordances entre ce tableau et notre science moderne ; mais il faut y lire, sous une forme qui porte la marque de son époque, un enseignement révélé, de valeur permanente, sur Dieu, unique, transcendant, antérieur au monde, créateur. » Pourquoi ?

 

* * *

 

 

3

 

Dieu, créateur du mal

 

Il est écrit dans Genèse 2 :9 : « (…) Dieu fit pousser du sol (…) l’arbre de la connaissance du bien et du mal*.»

 

On ne peut connaître une chose que si elle existe. Le mal existait donc au moment où Dieu fit pousser « l’arbre de la connaissance du bien et du mal ». Et on peut logiquement admettre que soit le mal a existé tout seul, soit quelqu’un l’a fait existé. Quelqu’un, c’est-à-dire nécessairement Dieu, le récit ne nous ayant pas fait ‘‘connaître’’ d’autre inventeur jusqu’ici. Et cette deuxième hypothèse est la plus plausible, car Dieu apparaît comme le créateur exclusif de toute chose.

 

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Le récit de la création de la femme nous rapporte quant à lui quelque chose de pas très admissible : les versets 21 et 22 disent que Dieu retira une côte à l’homme après l’avoir endormi, laquelle il utilisa ensuite pour créer la femme. Cela implique que l’homme avait initialement un nombre impair de côtes, car le corps humain est parfaitement symétrique (numériquement parlant). Dieu avait donc prévu, en créant l’homme, de créer la femme, puisque l’homme et la femme se sont définitivement retrouvés avec un nombre pair de côtes, 24, précisément.

 

Cela contredit donc sérieusement les versets 18 à 20, qui prétendent que c’est après avoir constaté que l’homme était seul que Dieu a pensé à lui faire « une aide » qui lui convienne ; et que c’est après avoir constaté ensuite qu’aucun animal ne lui correspondait qu’il eut l’idée de créer la femme.

 

Et l’homme déclara après avoir vu la femme (Genèse 2 :23): « Celle-ci est enfin l’os de mes os et la chaire de ma chaire. Celle-ci sera appelée Femme, parce que de l’homme celle-ci a été prise. » (Traduction du Monde Nouveau). Comment l’a-t-il su ? Qui le lui a dit (que « de [lui] celle-ci a été prise ») ? En outre, quel lien y a-t-il entre le mot femme et le fait d’être pris(e) de l’homme ?

 

* * *

 

Les cinq premiers versets du chapitre 3 rapportent une conversation entre le serpent et la femme.

 

Les seuls êtres dotés de parole sont les êtres humains. Donc, que le serpent (une bête) puisse parler à la femme (un humain), cela rend claire qu’on a affaire jusqu’ici à une fable.

 

Par ailleurs, Jéhovah Dieu parle. Il est donc un humain. Il ne peut conséquemment pas avoir créé l’homme. Et pourtant il l’a fait… Même dans le cadre d’une fable, ce genre d’absurdité n’est pas tolérable. Mais avançons quand même.

 

 

* La Traduction du Monde Nouveau dit plutôt  « (…) du bon et du mauvais » ; mais cela traduit à peu près le même concept.

 

4

À propos du verset 7 : Si on est nu on le sait, même si on est aveugle. On n’a pas besoin de manger d’un quelconque fruit pour s’en apercevoir. Ce qui est dit au verset 7 ne fait donc que confirmer la thèse comme quoi il s’agit d’une fable.

 

* * *

 

À la sueur de ton visage tu mangeras du pain 

 

Mais… bien avant de manger du fruit défendu, l’homme mangeait déjà du pain à la sueur de son visage ! Puisqu’il était cultivateur, d’après le verset 15 du chapitre 2.

 

* * *

 

Dieu, une personne ingrate au comportement malsain

 

Le récit du chapitre 4 (que nous invitons le lecteur à lire) est un récit extrêmement choquant. Il en ressort qu’à cause de Dieu, de son ingratitude, de sa partialité, Abel se fit tuer par Caïn son frère.

 

Pour quelle raison Yahvé a-t-il rejeté le présent de Caïn ??

 

Mais quant à la malédiction de Caïn, qui deviendrait un errant, il n’en fut rien : ni lui-même ni ses descendants ne furent des fugitifs.

 

* * *

 

Nous sommes à présent au chapitre 6. Le verset 2 semble gravement se contredire. Il parle des « fils de Dieu », ce qui établit définitivement que Dieu est un être humain ; oui, seuls les humains peuvent avoir des fils. Ce terme ne s’emploie pas pour le reste des êtres vivants (bêtes, végétaux). Mais ce verset dit (Second 21): « (…) les  fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles (..) » Comme si Dieu n’était pas, lui, un homme.

 

Quant au Fils de Dieu donc parle Jean 3 :16, il ne peut pas s’agir de Jésus (comme le prétendent les Chrétiens) car le chapitre 1 (de Jean) dit que la Parole (Jésus) a existé avant toute chose sauf Dieu. Or aucun enfant n’arrive à l’existence avant sa mère.

 

* * *

 

Le déluge

 

Le déluge (et plus largement l’histoire de Noé), dont le récit va du chapitre 6 au chapitre 9, est une invention. Les archéologues n’ont jamais trouvé la moindre trace d’une telle catastrophe qui se serait produite à l’échelle planétaire. D’ailleurs, il est impossible de faire rentrer dans une embarcation, quelles que soient ses dimensions, toutes les espèces d’animaux existant sur la planète, pour des raisons que n’importe qui peut comprendre.

 

* * *

 

 

5

Le récit de la différenciation des langues constitue les 9 premiers versets du chapitre 11 ; alors qu’aux versets 5, 20 et 31du chapitre précédent il existait déjà plusieurs langues. Cela paraît un peut anachronique.

 

* * *

 

Au chapitre 14, versets 19 et 20, le nom Dieu est affecté d’un déterminant. Cela pose un problème grammatical et sémantique dans la mesure où les premiers chapitres indiquent clairement qu’un seul et unique personnage porte le nom Dieu. Au lieu de « le Dieu Très-Haut », il serait plus correct de dire ‘‘Dieu le très haut’’.

 

* * *

 

Les anges

 

Le mot ange apparaît pour la première fois au verset 7 du chapitre 16. Le verset 8 montre qu’il s’agit d’un humain, puisqu’il y parle. Au chapitre 19 cela devient plus clair et plus certain : les anges sont des hommes. Voici le récit du chapitre 19 (les 5 premiers versets), d’après Second 21 : « Les deux anges arrivèrent à Sodome vers le soir. Lot était assis à la porte de la ville. Quand Lot les vit, il se leva pour aller à leur rencontre et se prosterna le visage contre terre. 2Puis il dit : ‘‘ Mes seigneurs, entrez donc chez votre serviteur pour y passer la nuit. Vous vous laverez les pieds, vous vous lèverez de bon matin puis vous poursuivrez votre route.’’ ‘‘Non, répondirent-ils, nous passerons la nuit sur la place.’’ 3Mais Lot insista tellement auprès d’eux qu’ils le suivirent et vinrent chez lui. Il leur prépara un festin, fit cuir les pains sans levain, et ils mangèrent. 4Ils  n’étaient pas encore couchés que les habitants de la ville, les habitants de Sodome, entourèrent la maison, depuis les enfants jusqu’au plus âgés. Toute la population était accourue. 5Ils appelèrent Lot et lui dirent : ‘‘Où sont les hommes qui sont entrés chez toi cette nuit ? Fais les sortir vers nous pour que nous couchions avec eux !’’ » Les versets 10 et 12 aussi insistent sur la nature humaine des anges.

 

* * *

 

Le verset 24 du chapitre 19 semble indiquer la demeure de Dieu. Il dit, selon Second 21 : « Alors, l’Éternel fit pleuvoir du soufre et du feu sur Sodome et sur Gomorrhe. Cela venait du ciel, de la part de l’Éternel. » Et d’après la Traduction du Monde Nouveau : « Alors Jéhovah fit pleuvoir sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu venant de Jéhovah, des cieux. »

 

Ce verset semble indiquer que Dieu demeure au ciel. Mais le mot ciel ici a pour pluriel cieux. Il ne s’agit donc pas du ciel réel, mais d’un lieu imaginaire qui n’a rien à voir avec cet espace indéfini où se trouvent les astres, car en français rigoureusement correct, le mot ciel a pour pluriel ciels, et non ‘‘cieux’’ ; même si l’expression « la môgn » utilisée dans la Bible en langue douala* peu être traduit par ‘‘du haut’’.

 

Le verset 17 du chapitre 21 va dans le même sens.

 

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*Langue bantou du golf de Guinée.

6

 

Les versets 2, 12 et 16 du chapitre 22 prétendent quant à eux qu’Isaac est l’unique fils d’Abraham. Pourtant, quiconque a lu le chapitre 16 sait qu’Abraham a un autre fils, Ismaël, qu’il a eu avec la servante de Sara, sa femme.

 

* * *

 

Aux versets 30 et 32 du chapitre 31 apparaît le mot dieux ; et ensuite au versets 2 et 4 du chapitre 35, mais sans qu’on ne sache avec précision de quoi il s’agit.

 

* * *

 

Les chapitres 40 et 41 (et d’autres aussi) parle abondamment de « Pharaon » et le présentent comme étant le roi d’Égypte. Or aucun roi d’Égypte ne s’est jamais appelé ‘‘Pharaon’’. Le mot pharaon (qui est d'origine égyptienne) est un nom commun qui signifie roi, souverain (d’Égypte).

 
Pour ce qui est particulièrement du chapitre 41, il s’agit, ni plus ni moins de propagande en faveur des Hébreux.
 
* * *
En guise de conclusion
 
Il apparaît après une lecture complète de la Genèse que Dieu est une personne omniprésente, omnipotente (discutable). Aucun homme* ne peut avoir aucun de ces caractères, surtout pas la première. Cela ne peut être possible que dans une fable.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
* Nous avons fait remarquer que Dieu est un est un être humain.
 
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